Archives annuelles: 2014

L'araire

 

D'aprèsFrançois Sigaut

Définition

L'araire (nom masculin) est un instrument attelé de travail du sol dont la partie travaillante est un simple soc, pointu plutôt que tranchant. L'araire travaille en fendant et en soulevant la terre, qui est rejetée plus ou moins émiettée de part et d'autre du soc. La structure de l'instrument est symétrique par rapport à la ligne de travail.

 
Araire Lambert

Araire originaire du village de Roure 06420, âge et mancheron raccourcis, (don de Monsieur Jean Étourneau).

Historique du mot

Le mot araire est d’origine provençale (araïre, du latin aratrum). Il est entré dans le vocabulaire des agronomes de langue française au début du XIXe siècle, pour désigner des charrues sans avant-train. Celui-ci était en effet considéré à cette époque par beaucoup d’auteurs (parmi lesquels Mathieu de Dombasle) comme un dispositif archaïque, encombrant et coûteux, qu’il convenait de remplacer par des régulateurs sur le modèle de certaines charrues flamandes et anglaises. Araire conservera ce sens de « charrue sans avant-train » jusqu’au milieu du XXe siècle. En 1955, dans L’Homme et la charrue à travers le monde, Haudricourt et Jean-Brunhes Delamarre montrent que la distinction la plus significative qu’il convient de faire entre les différents modèles de charrues n’est pas la présence ou l’absence d’avant-train, mais la structure symétrique ou dissymétrique de l’instrument. Ils proposent d’appeler araires les instruments symétriques (où l’axe du sep est parallèle à la ligne de tirage) et charrues les dissymétriques (où l’axe du soc fait un angle bien marqué avec la ligne du tirage). Cette proposition, reprenant l’usage de la plupart des dialectes paysans, est entrée aujourd’hui dans l’usage courant.
La dissymétrie de la charrue tient au fait qu’elle est conçue pour découper une tranche de terre qui doit être repoussée sur le côté. L’araire est symétrique parce qu’il travaille plutôt à la manière d’un instrument de pseudo-labour : il n’a ni coutre ni versoir (ou alors deux versoirs symétriques, ce qui le rapproche des buttoirs), et son soc est plutôt pointu que tranchant. Il ne faut pas toutefois faire de cette opposition une règle trop absolue. Il a existé ici ou là un certain nombre de formes intermédiaires.

 

Araire Lambert

 

Historique de l’instrument

L’araire apparaît en Mésopotamie dans la seconde moitié du IVe millénaire av. J.-C. On a longtemps cru que c’était là son origine, et cette hypothèse reste très vraisemblable. Mais sa présence est maintenant bien attestée en Europe au tout début du IIIe millénaire. La possibilité de plusieurs foyers d’invention ne peut donc pas être exclue.
Il est probable que la fonction première de l’araire a été, non pas de préparer le champ au sens où nous l’entendons aujourd’hui, mais de creuser des raies  destinées à recevoir les semences  que quelqu’un, marchant à côté de l’araire, y laissait tomber au fur et à mesure. Très tôt en tous cas, on trouve des figurations où l’araire est muni d’une sorte d’entonnoir à peu près vertical débouchant juste derrière le soc et destiné à recevoir les semences. Ces araires-semoirs se sont maintenus jusqu’à notre époque dans quelques régions du Proche-Orient (Syrie, Yémen…) et surtout en Inde. En Chine, l’araire-semoir a été assez tôt remplacé par de véritables semoirs attelés à deux ou trois rangs. En Occident par contre, l’araire-semoir ne semble pas avoir été connu, ce qui s’explique sans doute par la généralisation précoce du semis à la volée – technique rarement pratiquée et souvent même inconnue dans les autres régions du monde.
Les araires d’Occident ont toujours eu deux fonctions bien déterminées : 1er la préparation du champ, et 2e l’enfouissement des semis (en lignes ou à la volée). Il y a même des régions (au Maghreb par exemple) où l’araire n’avait que la seconde fonction : on ne faisait pas de labours préalables, on se bornait à couper les broussailles qui avaient résisté au pâturage des animaux, après quoi on semait (à la volée) et on donnait un seul labour destiné à la fois à ameublir la surface du sol et à enfouir le semis. Aussi sommaire soit-il, ce procédé se justifie dans des régions semi-arides où la concurrence des adventices est assez faible et où la pluviosité très capricieuse rend les récoltes très aléatoires.
Dans les régions d’Europe où la charrue a été adoptée, elle n’a pas supplanté l’araire, car les deux instruments étaient complémentaires. L’araire n’a commencé à disparaître que vers la fin du XIXe siècle, sans doute devant la concurrence des nouveaux instruments de pseudo-labour qui se généralisent à cette époque (cultivateurs, scarificateurs, extirpateurs, instruments à disques, etc.).

Araire

muni d'un soc pointu (ou conique) qui fend la terre sans la retourner. Il est employé en Mésopotamie depuis le IVe millénaire av. J.-C. Tracté par un animal, il scarifie la couche supérieure du sol et la rejette de part et d’autre de la raie (ou sillon). L’arairage qu'il effectue est donc superficiel. On continue de l'utiliser en Extrême-Orient, en Amérique du Sud et en Afrique du Nord.
L’araire au départ était constitué d’une seule pièce de bois, il évolua et finit par avoir jusqu'à cinq pièces. Le plus souvent en bois, l'araire se compose de trois parties essentielles :
- le mancheron, tenu par la main du laboureur, permet de guider l'araire.
- le sep (souvent appelé dental), pièce centrale dont la pointe est coiffée du soc qui entre en contact avec la terre.
- l'âge (haie ou flèche selon les régions), pièce généralement courbe, prolongé en avant par le timon et fixé en arrière au talon du sep, qui relie l'araire au brancard ou au joug auquel sont attelées les bêtes de trait.

 

Typologie

Plusieurs typologies ont été proposées pour les araires.

 

Typologie des bâtis

Celle la plus couramment utilisée dans les ouvrages de vulgarisation actuelle, dérive de celle de Haudricourt et Jean Brunhes-Delamarre (voir images ci-dessous), qui permet un classement des araires en quatre principaux types.

Shéma
Les trois grands types d'araire à mancheron unique :
1 - araire chambige
2 - araire manche-sep
3 - araire dental
(selon Haudricourt et Brunhes-Delamarre.)

L'araire chambige (1)

Ce type d'araire est constitué d'un sep, sur lequel un âge chambige (tordu, cambré) est fixé. Le(s) mancheron(s) vien(nen)t se fixer au niveau du raccord sep-âge. Lorsqu'un seul mancheron est présent, il vient souvent s'encastrer dans une fente pratiquée dans l'âge. Une simple cale suffit généralement à le bloquer. Cette cale bloque généralement le mancheron et la reille (soc à soie sur un araire).

Araire chambige

Araire chambige.

L'araire manche-sep (2)

Dans ce type d'araire, le sep (partie portant le soc de l'araire) et le(s) mancheron(s) sont une seule pièce (monobloc, ou constitué de plusieurs parties assemblées). L'âge (partie servant à la traction) vient directement se raccorder au manche-sep. Sur ces araires, le manche-sep se recourbe avant de rentrer en contact avec le sol.
Cette forme permet de faciliter le maniement de l'araire en lui donnant un certain équilibre, qu'il n'aurait pas si l'araire ne reposait que sur le soc (ce qui se passerait si le manche-sep était droit).

Araire manche-sep

Araire manche-sep.

L'araire dentale (3)

Pour ces araires, l'âge et le(s) mancheron(s) viennent se ficher dans le sep. Ce type d'araire semble avoir été peu utilisé en France, si ce n'est en Corse. Des araires de ce type ont été commercialisés pour le travail de la vigne durant la fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle. Fabriqués de manière industrielle, ils étaient parfois entièrement métalliques.
Leur introduction peut être due à l'influence française en Afrique du Nord, territoire où ils étaient d'un usage courant.

Araire dental

Araire dentale.

L'araire quadrangulaire (4)

Les araires de ce type ont une structure constituée de quatre pièces principales, se raccordant en formant, plus ou moins, un parallélépipède. L’écartement du sep et de l'âge est maintenu par un étançon ou une paire de tendilles, réglables à l’aide de coins.
Comparativement aux autres types, les araires quadrangulaires nécessitent un travail d'assemblage plus poussé. De ce fait, ils ont surtout été connus en France à partir de la fin du XIXe siècle et durant le XXe siècle.

Araire quadrangulaire

Araire quadrangulaire.

Typologie des socs

Il existe de nombreux types de soc d'araires. Il faut déjà préciser que les premiers araires n'étaient sans doute pas pourvus de soc. Dans ce cas, la pointe du sep sert de soc. Lorsqu'ils existent, il est possible de classer les socs de plusieurs manières.

Forme
– Sans aile, (simple renfort du bout du sep). Ce sont en général de simples renforts du sep fixés par un œil ou une douille. Ce système semble le plus ancien et n'apporte rien, en termes de labourage, par rapport à une araire sans soc. (le bout du sep sert de soc dans ce cas.) En termes de durabilité c'est cependant un progrès majeur par rapport aux araire sans soc (usure du sep)
– Avec aile. Le soc peut être plus large que le sep. Dans ce cas il affecte souvent la forme d'un triangle allongé, dont la pointe est dirigée vers l'avant de l'araire. Lorsque le soc est fixé par soie (reille), cela lui donne un faux air de pointe de lance, très reconnaissable. Cette partie plus large permet d'élargir le sillon et, en penchant l'araire durant le labour, de retourner une partie de la terre du sillon. Cette manière de labourer à l'araire se rapproche du labour à la charrue. Cependant, le sillon reste toujours superficiel (la charrue est un dispositif labourant en profondeur) et seule une petite partie de la terre est retournée. Le résultat reste toujours très différent du résultat obtenu avec une charrue.
– Dissymétrique. Ce sont des socs « à aile » dont les ailes sont dissymétriques. Une des ailes est beaucoup plus grande que l'autre, qui peut même être inexistante. L'usage de tels socs étant perdu aux périodes modernes son usage exact reste non expliqué. Une théorie est que cette forme aiderait à produire un labour asymétrique avec retournement partiel de la terre. Cette théorie ne convainc cependant pas la majorité des spécialistes.
 
Fixation
Il existe deux principaux types de fixations. Les systèmes par œil/douille ou par soie (les reilles). Ces modes de fixation, dans leurs nombreuses variantes, représentent la très grande majorité des fixations des socs d'araires. La forme et la fixation des socs dépendent des habitudes et moyens locaux. Ces variables conditionnent le travail que l'araire est capable de faire (profondeur de labour, travail en terrain dur).
– par œil ou par douille : Les socs à œil / douille sont constitués d'une plaque métallique, dont les bords sont pliés pour former l’œil fixant le soc sur l'araire.
Le repli peut se refermer complètement et former une douille.
Le repli peut se refermer tout en restant ouvert à l'extrémité, formant ainsi un œil. Plus surprenant, mais non moins courant, le repli peut ne pas se refermer. Dans ce cas, il forme une sorte de pince venant enserrer l'extrémité du sep. Ce dispositif est souvent nommé « œil ouvert ». Des renforts (clous, rivets, bracelet métalliques etc.) peuvent renforcer la liaison soc-sep.
– par soie
Les socs des araires sont souvent fixés par une soie (tige prolongeant la lame). Ce type de soc s'appelle une reille. Parmi les manières de fixer une reille sur un araire, deux systèmes prédominent. Ce sont les reilles fixées par des bracelets et celles enfoncées dans l'une des pièces de l'araire et bloquées par un coin. Les araires chambiges se prêtent particulièrement bien à ce second type de fixation.
– Autres…
 

Araire

L’araire (de l'occitan, issu du latin aratrum) est un instrument aratoire à bâti symétrique sans versoir et muni d'un soc pointu (ou conique) qui fend la terre sans la retourner. Il est employé en Mésopotamie depuis le IVe millénaire av. J.-C. Tracté par un animal, il scarifie la couche supérieure du sol et la rejette de part et d’autre de la raie (ou sillon). L’arairage qu'il effectue est donc superficiel. On continue de l'utiliser en Extrême-Orient, en Amérique du Sud et en Afrique du Nord.
L’araire au départ était constitué d’une seule pièce de bois, il évolua et finit par avoir jusqu'à cinq pièces. Le plus souvent en bois, l'araire se compose de trois parties essentielles :
– le mancheron, tenu par la main du laboureur, permet de guider l'araire ;
– le sep (souvent appelé dental), pièce centrale dont la pointe est coiffée du soc qui entre en contact avec la terre ;
– l'âge (haie ou flèche selon les régions), pièce généralement courbe, prolongé en avant par le timon et fixé en arrière au talon du sep, qui relie l'araire au brancard ou au joug auquel sont attelées les bêtes de trait.

 

Canal de la Ferrage

Canal de la Ferrage, Solliès-Pont
Canal de la Ferrage. Solliès-Pont

Le canal au Logis-Neuf. (Photos 2014).

Les oratoires de Méounes

D'après Louis JANVIER

Notre-Dame du château

Au sommet de la colline au-dessus et à l’est du village. Grande construction en maçonnerie crépie ouverte sur trois côtés par des arcs en plein cintre, surmontée d’une statue en ciment de Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse. Remplace une chapelle disparue, au milieu des ruines de l’ancien château et village.

Saint-Jean-Baptiste

Campagne et quartier «  La Poulaque » (prendre le deuxième chemin à droite à la sortie nord du bourg sur RN 5). Érigé en 1981 par M. Jean Terraza à son saint patron dans sa propriété, sous un cyprès, contre un mur de soutènement. En pierres, niche cintrée en maçonnerie crépie avec arc en pierres de taille, statue protégée par des barreaux.

Notre-Dame de La Garde

Oratoire de Méounes, Notre-Dame de la Garde, vue de ¾.

Bord du chemin de la Verrerie, quartier de Planeselve (prendre le troisième chemin à droite, sur la RD 5, 1 km après la sortie nord du bourg, et rouler sur 6 km). Construit en 1981 par M. Pierre Granet, à l’entrée de sa propriété, et béni le 19 octobre par un père chartreux de Montrieux. En pierres, niche en retrait sur dalles de terre cuite, sur le pilier ; encadrement de la niche cintrée, en briques pleines. Niche abritant une statue de la Bonne Mère offerte par les chartreux voisins de Montrieux, protégée par des barreaux. Au fronton pierre de taille sculptée avec l’emblème des chartreux ; le globe crucifère, et « P.G. 1981 ». Le fond de la niche est fermé par des verres colorés.

Oratoire de Méounes, Notre-Dame de la Garde, niche

Détail de la niche. (Photo nov. 2014.)

Oratoire de Méounes, Notre-Dame de la Garde, détail

L'emblème des Chartreux. (Photo nov. 2014.)

Toit à deux pentes en dalles de terre cuite et tuiles rondes. Agenouilloir monolithe au pied.

Immaculée Conception

Chemin de la Verrerie, 200 mètres après le précédent, quartier du « Pin de La Plume ». Construit par M. Fleur Nadoti en 1976 à l’entrée de sa propriété, sur une murette, derrière un cyprès bleu. Béni par l’abbé Cellier, curé. Niche en cintre surbaissé en pierres calcaires sur corniche en granit rouge, fermée par un grillage abritant une statuette de Marie Immaculée. Corniche en granit rouge. Agenouilloir au pied.

Saint-Véran

Oratoire Saint-Véran de Méounes

(Photo : nov. 2014.)

Bord de l’ancienne route de Néoules, quartier des Augustins, 100 mètres après le quartier de la Plâtrière, 200 mètres après la RD 5. À l’entrée de la propriété de M. Guillaume Chaix qui l’a construit en 1965 et l’a dédié à l’évêque de Cavaillon (VIe s.) patron des troupeaux provençaux. Pilier en pierre (tuf, calcaire) sur un petit rocher.

Méounes, oratoire Saint-Véran, niche.

(Photo : nov. 2014.)

La niche est une ancienne conque de puits, monolithe, posée sur un chant, avec une statuette.

 

Notre-Dame (?)

À usage de lanterne des Morts sur la pente ouest de la colline de Notre-Dame du château, au-dessus du village. Aurait été érigé en 1885 après le choléra de 1884. Porte la date du 11 janvier 1921 qui serait celle d’une première restauration. Endommagé, à demi détruit a été restauré en 1982 par les soins de l’ASER (Association de Sauvegarde et d’Étude du Patrimoine Naturel et culturel du canton de La Roquebrussanne) sous la direction de son président Philippe Hameau. Le 11 février la niche lanterne a été rallumée au sens strict du terme. Socle trapézoïdal à base carrée en pierres recouvertes de ciment, surmonté d’un mince pilier en pierres sur plan carré supportant une « niche-lanterne » en ciment ouverte sur quatre côtés avec trois vitres et une porte, sous un toit à deux versants.

 

 

 

Bibliothèque : Inventaire des oratoires du Var

Oratoires de Signes

D'après Louis JANVIER

 

Saint-Sébastien

Quartier de l’Infirmerie ou de La Vaucrette. Bord du vieux chemin de La Roquebrussanne par la Bastide Blanche. Avant l’auberge du Vieux Pressoir. À l’entrée d’une propriété.
Si l’on en croit l’abbé Saglietto (Histoire de Signes 1935) un jas (bergerie) voisin aurait servi de lazaret au XVIe siècle ; ce qui expliquerait la dédicace à ce saint martyr, invoqué par les malades.
En partie démoli il n’en reste que la base avec un bénitier creusé dans le pilier...

Oratoire notre-dame de Lourdes, Signes

(Photo : nov. 2014.)

Oratoire Saint-Michel, Signes.

Saint-Michel

Quartier du Plan. Au bord du chemin, au sud-est de l’église. Restauré une première fois en 1938 par les soins de M. Authié. En 1975 une deuxième fois avec le concours de la mairie, les A.d.O. offrirent une grille pour protéger la plaque de Simone Garnier, de Moustiers offerte par Mme P. Eustache, de Toulon, en remerciement d’un vœu exaucé.
Elle fut bénie le 1er février 1976 par l’abbé Cellier curé en présence du maire M. Ricard, et du président Gavot qui prononcèrent les allocutions d’usage, du vice-président Louis Janvier et d’une pieuse assistance.
Pilier en pierres, niche crépie, cintrée fermée par une grille de M. Valériano, du Beausset. Toit pyramidal avec croix de fer lancéolée. Bénitier sur le devant creusé dans le fût.

Saint-Jean

Vieille route de Méounes, à l’amorce du chemin des Voltes. On s’y rendait en procession pour la Trinité. Il n’en reste que la base.

Notre-Dame de Lourdes

Entre la chapelle Saint-Clair et la chapelle Notre-Dame de l’Annonciation ou Notre-Dame Proche ; vieux chemin d’Envès. Connu sous le nom d’oratoire Proche, ou de l’Annonciation. Pilier en pierres crépies, avec niche cintrée sur corniche renfermant une statuette, protégée par une grille ; sous un toit pyramidal surmonté d’une croix en fer. Bénitier creusé dans le pilier.

Oratoire notre-dame de Lourdes, Signes

Saint-Jean-Baptiste

Chemin d’Envès, 800 mètres après la chapelle Notre-Dame de l’Annonciation ou Proche, quartier des Plauques, à une petite bifurcation. Dédié au patron du bourg. En pierres, délabré et envahi par le lierre. Niche cintrée, toit épousant la forme de la niche.

Oratoire Notre-Dame de Lourdes, Signes.

Notre-Dame de Lourdes

Sortie nord du village, sur le chemin qui par la vallée du Rabi mène à la chapelle Notre-Dame l’Éloignée ou Notre-Dame de la Nativité, et au col de Taillane. À l’entrée d’une petite grotte. Il est le premier d’une série de cinq. Restauré en 1934 par les soins de l’abbé Saglietto, curé.
Pilier en maçonnerie crépie, niche cintrée renfermant une statuette, toit en tuiles, en bâtière, surmonté d’une croix de fer.

Sainte-Magdeleine

Le deuxième de la série, fait suite au précédent. Non loin d’une cascade, sur un rocher. Restauré en 1935 par les soins de l’abbé Saglietto, statue, grille et croix de fer offertes par les A.d.O. niche cintrée, basse, en pierres et maçonnerie.

Oratoire Sainte-Marie-Madeleine, Signes.

Saint-Joseph

Le troisième de la série. Restauré en 1935 par les soins de l’abbé Saglietto. Statue, grille et croix offertes par les A.de.O. Pilier circulaire comme une meule, en maçonnerie, niche cintrée, et toit épousant la forme de la niche.

Oratoire Saint-Joseph, Signes.

L'oratoire en novembre 2014.

Oratoire Saint-Joseph, Signes (détail).

Détail de la niche. (Photo nov. 2014.)

Notre-Dame des Anges

Le quatrième de la série, quartier de Château-Vieux, à proximité du pont, au pied de rochers. Construit en 1654, il coûta 15 livres léguées par Jean Rivel (originaire d’Auriol et ermite à Notre-Dame de Beauvezer) avant de partir « pour aller visiter les reliques de Rome ». Restauré en 1935 par les soins de l’abbé Saglietto et l’aide des Amis des oratoires.
Sur un rocher, pilier en pierres de taille, niche cintrée sur corniche. Toit épousant la forme de la niche avec croix de fer lancéolée. Statuette protégée par une grille.
Oratoire Notre-Dame des Anges, Signes.

(Photo : nov. 2014.)

Notre-Dame

Le cinquième de la série, au sommet du col de Taillane. Sa niche en briques creuses et maçonnerie se délabre chaque année un peu plus sous l’effet des intempéries. Pilier plus ancien et plus large en pierres avec bénitier. Le toit au-dessus de la niche rectangulaire est surmonté d’une croix de fer.

(Bibliographie : Notice historique et archéologique : La commune de Signes, abbé Saglietto 1935.)

Saint-Éloi(1)

Érigé en 2011 en remerciement à Saint-Éloi, par l'association Saint-Jean - Saint-Éloi qui à financé sa construction.

Oratoire Saint-Éloi, Signes
Oratoire Saint-Éloi, Signes (détail).

(Photo : sept. 2014.)

Détail de la face est (côté droit) du pilier. (Photo : juin. 2018.)
Oratoire Saint-Antoine de Padoue, Signes.

Saint-Antoine de Padoue(1)

En face du « Vieux moulin » (XIV-XVes siècles) sur une propriété privée, niche creusée dans le rocher, dédié par son propriètaire à saint Antoine de Padoue.

(Photo : nov. 2014.)

Sainte-Delphine(1)

À la sortie du village sur l'ancienne route de Toulon.

Oratoire Sainte-Delphine, Signes.

(1) Oratoires non référencés par les Amis des oratoires.

 

BibliothèqueInventaire des oratoires du Var

Bibliothèque : La commune de Signes

 

Trois circuits de balades autour des oratoires de Signes :

Carte correspondant à la balade l'Autenthique décrite ci-dessus.

Carte de la balade des oratoires de Signes.

Monsieur Dollieule

Je réponds à vos lettres pour vous dire que vous n’avez rien à compter pour la taille des troènes, ça n’a rien couté nous l’avons fait un peu chaque jour avec le jeune Charrette. Vers la fin juin je payerais les impositions, je n’ai pas encore perçu le loyer de Guilas. J’ai payé M. le curé. Cette fois je n’ai rien donné pour les convalescents de l’hospice pour vous. Le gouvernement depuis le mois de mars donne 1 f.50 par jour alors le comité nous avons décidé de ne percevoir que tous les deux mois, depuis le mois d’avril nous avons rien perçut.
À cette dernière perception je n’y étais pas je fus obligé ce jour-là de faire un cercueil, j’avais remis les comptes à Gasquet qui m’a remplacé ce jour-là, quand j’ai voulu donné pour vous il avait fait le versement se lieu à la fin juin. J’ai remis la lettre à Guilas et l’autre à la poste.

En ce moment se serait difficile de trouver une femme de ménage, tout le monde est employé aux cerises. Il en restera plus de la moitié sur les arbres faute du monde pour les cueillir, tous les italiens sont parti en autres. La pluie presque tous les jours nous les gâte.
À Beaulieu la fille de M. Grué a dit qu’on les cueille plus, elles ne se vendent presque pas à Paris. Quelques fois ils ne font pas l’argent des frais. Quand même quand vous serait décidé de venir vous nous le ferait savoir, Marie en cherchera une de femme de ménage.

Je vous dirais qu’à Solliès rien de nouveau à signaler que des morts :
Grimaud Auguste Arnaud, marié, 32 ans, né à St-Michel les Portes, mort le 22 Xbre 1914 de ses blessures à Lihons.
Regimbaud Paul Marius, 31 ans, marié, né à Ste-Croix du Verdon (Basses Alpes), mort le 7 février 1915 suite de ses blessures à Dijon.
Arène Louis Marius, marié un enfant, 32 ans, né à Solliès-Pont, mort le 5 avril 1915 au champ de bataille au Bois le Prêtre.
Michel Émile Joseph Paulin, 22 ans, né à Ubaye (Basses Alpes), tué par un éclat d’obus dans les tranchées le 14 avril 1915.
Un blessé Gaspard.

Pas autre chose pour le moment le bonjour à Madame de notre part.

A. Simon

Quartier Beaulieu. Solliès-Pont.

Beaulieu.

Monsieur Dollieule

Je viens vous donner encore quelques nouvelles de Solliès.
Codou Marius 32 ans soldat au 4e colonial marié 3 enfants natif du Luc tué le 21 Xbre 1914 au environ de Mametz 365 habitants dans la Somme
Sénès Louis Jules soldat territorial au 19e artillerie à Nîmes 44 ans né à Solliès mort subitement en service à Nîmes le 30 janvier, père d’un enfant.
Depuis le commencement de l’année nous avons à l’hospice 24 soldats blessés convalescents de toutes armes il part et il en arrive, le gouvernement passe un franc par jour et par homme avec prescription pour le menu. L’administration voyant que un franc ne suffisait pas et qu’il manquait environ 0 f, 85 par homme, ils ont formé un comité pour faire souscrire les personnes généreuses a donné chaque mois pour tout le temps que les soldats resteront à l’hospice une somme à partir 0 f, 50 et au-dessus. Ce comité se compose de 48 personnes divisées à douze groupes que chacun à son quartier ou rue pour percevoir les cotisations mensuelles.
Ce comité est formé du conseil municipal, celui de l’hospice et de celui du Bureau de bienfaisance, le curé, le chef de gare, les présidents des cercles, les correspondants des journaux, les 3 notaires, le receveur de l’enregistrement, du percepteur, le directeur de la poste et celui de la Caisse d’épargne et autres. Dans mon groupe il y a Gerfroit, Pey et Gasquet conseiller municipal, dans ma liste j’ai 52 personnes qui ont donné de
0 f, 50 à 5 f, dans ma liste j’en ai cinq de 5 f vos cousines ont bien voulu s’inscrire pour 5 f, tout cela marche assez bien. Pour tout l’ensemble pour les deux mois on a recueilli 1400 f.
Je vous dirais aussi qu’à Solliès il vient de partir une vingtaine des anciens réservistes qui avaient été fait bon au conseil de révision et il en partira encore. Je crois qu’à Marseille vous ne devez pas vous apercevoir comme nous du vide que cela fait dans le pays. Comme menuisier moi je reste seul, depuis le début de la mobilisation il en est parti cinq.
Il y a un mois et demi environ on fit publier au son de trompe la vente de la chapelle St-Victor, la veille de la vente une nouvelle publication que la vente était renvoyée jusqu’à présent ça été comme cela.
Pas autre chose pour le moment
Bien des choses à Madame de notre part.
Bien à vous

A. Simon

lettre

Monsieur Dollieule

Je vous dirais qu’a Solliès nous avons depuis une douzaine de jours 600 hommes de troupe, quand ils ont besoin de quelques choses pour leur services ils réquisitionnent tant tôt de chevaux, de charrette enfin tous ce qu’ils ont besoin pour leur service. Depuis cinq jour on nous donner un officier a logé qui est le secrétaire du colonel il est très gentil il vient se coucher et partir le matin on ne l’entend presque pas. Son ordonnance vient faire la chambre tous les matins et nous ne le voyons plus ; il est très convenable, nous l’avons logé au 2e étage. Les soldats sont tous du côté de Bordeaux et presque tous des réservistes, il y en a à Solliès-Toucas, à La Farlède, à Solliès-Ville, il y en a du Génie qu’il font des travaux de batteries à Notre(-Dame) du Défend parmi ceux-là il y a un prêtre qui est soldat qui a dit la messe le jour de Notre-Dame à Solliès-Ville et de là il venu chanter la grand-messe et les vêpres à Solliès-Pont, M. le curé lui a prêter une soutane. M. le curé a annoncé hier dimanche qu’il reviendrait dire la messe dimanche prochain.
Nous sommes heureux qu’il y ait deux médecins dans la troupe qu’ils font le service gratuit pour les habitants. Le jour de Notre-Dame une jeune piémontaise mariée depuis deux mois à tenter de s’asphyxier par le charbon, les deux médecins sont venu lui donner des soins, aujourd’hui elle va mieux. Cela s’est passé à la maison qui touche Mlle Marguerite Gardanne tous près de nous.

Dans l’angle de la maison de la place Neuve, il y a une auberge buvette, il vendait le vin au soldat jusqu’à 18 sous le litre les soldats se sont un peu révolté il ne voulait pas payer, il y a eu un grand rassemblement, le colonel et venu il a donné les ordres pour lui faire fermer la buvette. Il a fallu que les autorités interviennent pour prier le colonel de ne pas le faire fermer. Alors on a consigné la buvette que les soldats ni sont plus allé.
On a fait des quêtes pour la Croix Rouge dans beaucoup de localité environnante à Solliès-Pont, des jeunes demoiselles ont quêté, ils ont ramassé 1200 f, la plus forte sommes qu’on a fait c’est à Solliès-Pont.
Maintenant que j’ai un peu du temps le travail ne presse pas trop, je suis allé plusieurs fois aux archives vous verrez ce que j’ai trouvé jusqu’à présent au sujet de contrôle des exploits, j’ai vu aussi le cadastre de 1600 je n’ai rien vu.
Le 7 août j’ai envoyé un mandat sur la poste de 10 f pour un abonnement de six mois au Soleil du Midi à l’adresse M. Sénès Emile, place de la Mairie à Solliès-Pont et il n’a encore rien reçu, pourtant moi je reçois le journal tous les jours. Je ne sais pas si les abonnements partent du 1er ou du 15 de chaque mois, le journal n’en fait pas mention, hier je lui ai écrit de nouveau pour lui rappeler ce retard, je n’y comprends rien.
Bien de choses à Madame Bien à vous

A. Simon
Au moment je mets ma signature, l’officier vient me dire qu’il quitte la maison avec grand peine qu’il se trouvé bien, son commandant le réclame auprès de lui, le commandant loge chez M. Giraud tanneur, il le trouve trop éloigné.
On fait faire fermer les café à 10 heures, on a défendu au cafetier de servir de l’absinthe.

Auberge place Neuve. Solliès-Pont.

Auberge place Neuve.

Correspondance de Joseph, Apollinaire SIMON

(1836-1924) avec Frédéric DOLLIEULE

Joseph, Apollinaire Simon (menuisier à Solliès-Pont) fut le correspondant de Frédéric Dollieule (1848-1932), magistrat au Tribunal civil de Marseille, pour les recherches dans les archives municipales de Solliès-Pont et Solliès-Ville, les informations locales et la gestion des affaires courantes.
Correspondant du Soleil du Midi, quotidien de Marseille.

Frédéric, Aimé, Marie, Félix Dollieule est né le 7 novembre 1848 et est décédé le 9 novembre 1932, à Solliès-Pont au 30, rue de l'Hôtel de Ville, âgé de quatre-vingt-quatre ans. Il fut marié à Eugénie Céaly. Fils de Joseph, Auguste, Antoine Dollieule, notaire (1837-1850), et de Louise de Magallon et neveu de Jacques Philémon.
Il fut magistrat au tribunal civil de Marseille, avant 1882 au 77, rue Breteuil, membre correspondant de la Société d'étude de Draguignan.
À partir de 1882, il récupère les notes et les manuscrits de son oncle Philémon et collationne tous documents ­­– manuscrits, imprimés, archives (privées et publiques) ­­– se rapportant à l'historique de Solliès. En 1930, à partir de ces documents, il rédige une monographie restée manuscrite intitulée : Solliès, de ses origines au XVIe siècle.
Cette œuvre a servi à Paul Maurel pour écrire : La vie tourmentée d'une commune à travers les âges, Toulon, 1936.

 

Auteur de :
Antoine Arène poète macaronique et jurisconsulte, sa vie et ses œuvres  - Marseille, 1886, 79 p.
Francois-Joseph Pey, martyr pour la foi Toulon, 1927, 46 p.

Frédéric Dollieule, été 1924

Frédéric Dollieule, été 1924.

Exposition botanique 2014

Exposition botanique

« Plantes comestibles et médicinales
de la vallée du Gapeau »

Solliès-Pont

Espace associatif Murat
de 10 h à 12 h et de 14 h 30 à 18 h 30

Conférence

par Pierre et Délia Vignes* :

« La vie intime des plantes médicinales
de la vallée du Gapeau »

Dimanche 13 avril à 15 h
au foyer Quiétude (salle Durando)

Renseignements : 07 78 51 29 84

*Coauteurs de L'herbier des plantes sauvages, éditions Larousse.
Dédicace sur place.

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Carnet de route N° 1, Les citadelles du Levant

 

6 Itinéraires à  la découverte du patrimoine fortifié de l'agglomération
Carnet de route n° 1

Auteur : COLLECTIF

Toulon Provence Méditerranée, communauté d'agglomération

Éditeur : Hémisud

Année : été 2005

Pages : 52 p.

 

 

Consulter l'ouvrage : Les Citadelles du Levant

Citadelles d’azur, Quatre siècles d’architecture militaire varoise

 

Auteur : CROS Bernard

Éditeur : Édisud

Année : 21 mars 2000

Pages : 157 p.

ISBN-10 : 274490029X
ISBN-13 : 978-2744900297

choixgradue

 

Bibliothèque manuscrite des Écoles primaires :
1re partie

Pour exercer à la lecture des Manuscrits

1 Préceptes de conduite pour les enfants, et anecdotes instructives
2 Principaux évènements de l'histoire ancienne et de l'histoire moderne
3 Modèles d'actes et des factures ; notions industrielles
4 Modèles de style épistolaire

Ouvrage autorisé par le Conseil de l'Instruction publique

Éditeur : HACHETTE ET CIE

Année : 1879

ASIN : B00EQ4BW0S

Les chemins de la Provence romane

  

Auteur : BASTIÉ Aldo et CHAMPOLLION Hervé

Éditeur : Éditions Ouest-France

Année : 2000

Pages : 125 p.

ISBN : 2.7373.1430.5

 

Châteaux de Provence

 

Auteur : PANAROTTO Serge

Éditeur : Édisud,
Collection : Patrimoines

Année : mai 2003

Pages : 120 p.

ISBN-10 : 2744903531

ISBN-13 : 978-2744903533

 

Chartreuses de Provence

 

Auteurs : AMARGIER Paul, BERTRAND Régis, GIRARD Alain, LE BLÉVEC Daniel

Éditeur : Édisud

Année : 1988

Pages : 316 p.

ISBN : 2-85744-352-8

 

Chapelles de Provence

 

Auteur : PANAROTTO Serge

Éditeur : Édisud,

collection Patrimoines

Année : 13 avril 2007

Pages : 155 p.

ISBN-10 : 2744906794

ISBN-13 : 978-2744906794

 

Centre archéologique du Var 2003

Auteur : BÉRATO Jacques
(sous la direction de)

Éditeur : Centre Archéologique du Var
14, boulevard de Bazeilles

Ville : Toulon

Année : 2003

Pages : 198 p.

ISBN : 2-905757-01-9

 

 

 

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Centre archéologique du Var 2002

 

Auteur : BÉRATO Jacques
(sous la direction de)

Éditeur : Centre archéologique du Var
14, boulevard de Bazeilles

Ville : Toulon

Année : 2002

Pages : 125 p.

ISBN : 2-905757-00-0

 

 

 

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Céramique varoise

 

Var, pays de la terre cuite
Les Carnets varois du patrimoine - No 1

Auteur : COLLECTIF

Éditeur : Conseil général du Var, Toulon

Année : 2004

Pages : 32 p.

 

 

 

Consulter le document : Céramique varoise

Centre archéologique du Var 2001

 

Auteur : BÉRATO Jacques
(sous la direction de)

Éditeur : Centre archéologique du Var
14, boulevard de Bazeilles

Ville : Toulon

Année : 2001

Pages : 211 p.

 

 

 

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catalogue Solliès-Pont

 

Éditeur : Études Couret et Bourcier

Ville : Toulon

Date : 19 et 20 décembre 1955

Catalogue

Carte archéologique de la Gaule, le Var, 83/1, 83/2

Auteurs : BRUN Jean-Pierre
avec la participation de BORRÉANI Marc

Éditeur : Académie des Inscriptions et Belles-Lettres

Ville : Paris

Année : 1999

2 volumes :

488 pages
496 pages

ISBN : 2-87754-063-2
ISBN : 2-87754-063-4

Carte N° 24, Collines provençales au 1 : 50 000 Didier Richard

 

Auteur : COLLECTIF

Éditeur : Éditions Didier Richard

Ville : Grenoble

Année : 1997

 

Campanile provencal

 

Les Carnets du patrimoine - N° 3

Auteur : COLLECTIF

Éditeur : Conseil général du Var

Ville : Toulon

Année : 2004

 

 

 

Consulter le document : Le campanile provençal
Consulter le document : Le campanile provençal

Cadrans solaires du Haut-Pays niçois

 

Auteurs : HOMET Jean-Marie (textes)
et ROZET Franck (photos)

Éditeur : Édisud

Année : 2001

Pages : 120 p.

ISBN-10 : 2744902438

ISBN-13 : 978-2744902437

 

Cadrans solaires du Briançonnais

 

Auteurs : HOMET Jean-Marie (textes)
et ROZET Franck (photos)

Éditeur : Édisud

Année : 2001

ISBN-10 : 274490242X

ISBN-13 : 978-2744902420

 

Cadrans solaires des Hautes-Alpes

 

Auteur : PUTELAT Pierre

Éditeur : Pierre Putelat, atelier Tournesol

Ville : Molines-en-Queyras

ISBN : 2-9505792-1-3

 

Cabanes en pierre sèche de la Provence littorale, le Var

 

Auteur : KALMAR Éric

Éditeur : Draguignan

Collection : « Connaissez-vous ? »

Préface de FATTORI Yves, conservateur du Musée des Arts et Traditions Populaires de Draguignan

Année : 1995

 

Carte archéologique des communes de la Farlède et Solliès-Ville (Var)

 

Auteurs : BORRÉANI Marc, CAZALAS Gabriel et DELMONTES Jean-Luc

Éditeur : Conseil général du Var, Centre archéologique du Var

Ville : Toulon

Année : 1998

 

Cabanes en pierre sèche de France.

 

Auteurs : LASSURE Christian
et REPÉRANT Dominique

Éditeur : Édisud

Année : 2006

Pages : 247 p.

ISBN-10 : 274490449X
ISBN-13 : 978-2744904493

Balade à Solliès-Ville, un village de Provence

 

Auteurs : BUSCHARDT Frank et CRES Christian

Éditeur : Éditions Crès

Année : 2007

ISBN : 2-7537-0054-0

 

Bulletin de la Société d’Études scientifiques et archéologiques de Draguignan et du Var

 

Auteur : COLLECTIF

Éditeur : Périodique

Ville : Draguignan

Année : 1981

ISSN : 0153-937 X

Pages : 83 p.

 

C’est toujours le même sillon

 

Les métiers d'autrefois à aujourd'hui dans le canton de Solliès

Auteur : BROUSSAIS Monique

Éditeur : Monique Broussais

Ville : Solliès-Ville

Année : 1986

Pages : 415 p.

ASIN : B0014VSTOI

 

Autrefois… Solliès-Ville

 

Auteur : BROUSSAIS Monique

Éditeur : Monique Broussais

Ville : Solliès-Ville

Année : 1980

Pages : 171 p.

ASIN : B0014L3OQG

 

La chartreuse de Montrieux

 

Auteur : BOYER Raymond

Éditeur : Éditions Jeanne Laffitte

Ville : Marseille

Année : 1980

Pages : 883 p.

ISBN : 2-86276-022-6
2 volumes + index

Boscodon

 

Auteur : BILHEUST Henri Crots

Éditeur : Association des amis de l'abbaye,
dans Cahier N° 4,
5e édition

Année : 1989

Pages : 138 p.

ISSN : 0757-200X

boscm

 

Auteur : BOSC M.

Éditeur : M. Bernard, Imprimeur de la préfecture

Ville : Draguignan

Année : 1845

Pages :

partiel [Pc]

 

Bories, Lubéron images et signes
 
Auteurs :
- FANNIÈRE Érik,
- MANSUY CHEVALIER-DEVRON Marie-Christine et autres.

Éditeur : Édisud, Aix-en-Provence

Année : 1984

Pages : 189 p.

ISBN : 2-85744-720-5

Le grand livre du bois pas à pas

Auteur : COLLECTIF

Éditeur : Éditions Place des Victoires, Paris

Année : 2013

Pages : 439 p.

ISBN : 978-2809910315

Paroisse Saint-Christophe

 

… Petit aperçu historique

Auteur : BEAUSSAC André

Éditeur :

Ville : Solliès-Toucas

Année : 2001

Pages : 71 p.

 

Bulletin de la société des amis du vieux Toulon et de sa région, n° 104

 

Auteur : COLLECTIF

Périodique, Toulon

Pages : 233 p.

Année : 1982

Bulletin de la société des amis du vieux Toulon et de sa région, n° 103

 

Auteur : COLLECTIF

Périodique Toulon

Pages : 182 p.

Année : 1981