Auteurs : GRIFFE Maurice et Jacqueline
Ville : Cagnes-sur-Mer
ISBN : 2-907854-19-4
Famille : ARECACEAE
Auteurs : SMBVG
(Syndicat Mixte du Bassin Versant du Gapeau)
Éditeur :
(3e édition mai 2018)
Ville : Pierrefeu-du-Var
Année :
Pages : 4 p.
MALVACEAE
Devant son nom au mot latin « Tilia » le Tilleul est un arbre appartenant à la famille des Malvacées, qui se divisent en plusieurs espèces, dont les plus connues en Europe sont le Tilleul à petites feuilles Tilia cordata et le tilleul à grandes feuilles Tilia platiphyllos.
Arbre traditionnel implanté au centre des villages de Gaule ou d’anciens lieux de rassemblement en Allemagne, le Tilleul est aujourd’hui principalement connu pour ses fleurs et ses feuilles. Ces dernières, souvent en forme de cœur, ont d’ailleurs fait du Tilleul un symbole d’amour et de fidélité dans la mythologie grecque.
Pouvant s’élever jusqu’à quarante mètres de hauteur, il possède une croissance rapide faisant apparaître une écorce lisse qui se gerce au fil des années. Comme la plupart des arbres, il a besoin d’un sol relativement profond pour pouvoir se développer. Cet arbre principalement d’ornement préfère les terres riches, fraîches et assez humides pouvant être même calcaire. Il ne supporte pas les terrains trop acides et l’aridité de l’air, il conviendra donc de lui trouver une exposition mi-ombre.
Le Tilleul se plante en racines nues ou en conteneur à l’automne pour favoriser son enracinement avant l’hiver.
COCOTIER DU CHILI OU PALMIER DU CHILI
Famille : ARECACEAE
Famille : ANACARDACEAE
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Famille : ARECACEAE
PALMIER FOUGÈRE OU CYCAS DU JAPON
Famille : CYCADACEAE
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Famille : TAXODIACEAE
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Famille : FAGACEAE
Chêne vert, Quercus ilex L. Photo : Stadtkatze et licence.
Famille : OLEACEAE
Le Filaire à larges feuilles (Phillyrea latifolia) est une plante de la famille des Oléacées. C’est un arbrisseau de six à huit mètres de hauteur.
Le feuillage est persistant, brillant et coriace. Les feuilles sont opposées, larges de forme ovale à pétiole court. Les fleurs sont disposées en grappes courtes et peu fournies. Le fruit est une drupe de la grosseur d’un pois, de couleur noire, à noyau globuleux. La Filaire à feuilles larges fréquente les maquis, les vallées rocailleuses et les collines sèches. On la rencontre entre zéro et sept cents mètres d’altitude.
La floraison de l’espèce intervient entre les mois d’avril et mai. Cette espèce est hermaphrodite. La pollinisation se fait de manière entomogame et la dispersion des graines se fait par endozoochorie. On rencontre cette filaire dans le sud de l’Europe (Espagne Portugal, France, Sardaigne, Sicile Corse), en Afrique du Nord et dans le sud-ouest de l’Asie. En France, cette espèce se rencontre en Provence-Alpes-Côte d’Azur, dans le Languedoc-Roussillon, en Corse, Poitou-Charentes ainsi qu’en Gironde.
Famille : CUPRESSACEAE
Photo : John Sullivan et Licence
CHÊNE BLANC OU CHÊNE PUBESCENT
FAGACEAE
Famille : CANNABACEAE
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Famille : CUPRESSACEAE
Famille : PINACEAE
PALMIER DE CALIFORNIE OU PALMIER À JUPON
Famille : ARECACEAE
Cette exposition est le résultat de la collecte d’informations, de relevés sur le terrain et de nombreuses photographies et dessins des fontaines de notre territoire.
La présentation en panneaux bâches verticaux de un mètre cinquante de haut s’est imposée à nous pour une lisibilité agréable et pratique. Elle a été mise en page par G. Demailly et imprimée par « Fidel-Graphic », 83210 La Farlède.
Ces panneaux pourront être prêtés aux différentes communes sous certaines conditions matérielles et d’assurance pour des périodes déterminées ensemble.
L’accueil favorable reçu par les visiteurs aux Journées européennes du Patrimoine à Solliès-Pont nous encourage à persévérer.
Nous voulons remercier ici : André Arcolao, Henri Sausset, Christian Sévery, Philippe Tibout, de la Maison du patrimoine de Belgentier, Jean-Claude Vincent, Mesdames les adjointes à la Culture de Solliès-Toucas, Solliès-Ville, les archives communales de Solliès-Pont et la communauté de communes de la Vallée du Gapeau.
Le président
Aux XVII et XVIIIes siècles la solution utilisée pour l’adduction en eau dans les villages est le fil de l'eau, qui descend naturellement par gravité dans un canal à ciel ouvert.
L’eau va de fontaine en fontaine, la surverse de la première alimentant la suivante. Les usages différents de l’eau se répartissant tout au long de cette ligne : au point le plus haut, l’alimentation des habitants, puis les animaux, les usages domestiques et l’arrosage des jardins, le point le plus bas. (Belgentier 2, Solliès-Toucas 2, 3, 11, 12, 15, Solliès-Pont 1, 2, Solliès-Ville 1, 4, 5, La Farlède 1, 8).
Quand l’eau est peu abondante, les fontaines sont rares et fort simples ; le souci majeur des municipalités est donc la recherche de sources pérennes, l’amélioration des captages et l’acheminement de l’eau vers les différents quartiers des villages qui petit à petit s’étendent.
L’Empire et son administration sont à l’origine de la création des départements et parallèlement les ingénieurs des Ponts et Chaussées, en hommes de terrain participent à l’aménagement du territoire et aux travaux d’adduction d’eau (Solliès-Toucas 8, 9, Solliès-Ville 3)
Les matériaux changent et la fonte remplace de plus en plus la terre cuite qui, poreuse et fragile, provoque des pertes importantes, l’eau coulant à la fontaine correspondant à la moitié voire au quart du volume capté à la source. Le prix de la fonte baissant au cours du siècle va également favoriser son utilisation.
Le XIXe siècle est l’âge d’or des fontaines et dans tous nos villages, bornes-fontaines, fontaines centrales ou adossées, fontaines-lavoirs et puits dans les plaines vont voir le jour, dessinés par les ingénieurs des Ponts et Chaussées, les architectes voire le maçon du village (Belgentier 7, 9 à 14, La Farlède 5, Solliès-Pont 3, Solliès-Toucas 6, 10, 13).
Dans la seconde moitié du XIXe siècle, la technique du réseau va permettre de multiplier les adductions d’eau. La résistance des matériaux, le calcul des sections des tuyaux vont permettre d’augmenter la taille des conduites et donc le volume d’eau disponible.
La loi sur la salubrité de 1902 va accélérer le développement des réseaux, car il est urgent de lutter contre les épidémies de choléra, de typhoïde, causées par les eaux polluées.
Aujourd’hui chaque commune, chaque habitation dispose de l’eau courante et les rôles les plus importants de la fontaine ont disparu (La Farlède 11 à 13, Solliès-Pont 11 à 16).
Certes, la construction des nouvelles fontaines a beaucoup diminué, mais on constate que nombre de projets décoratifs d’embellissement urbain passent par la création d’une fontaine, partie intégrante de cet espace (Solliès-Toucas 16, Solliès-Pont 9, 10, Solliès-Ville 6, La Farlède 9, 10).
Bibliothèque : Eaux et fontaines du Var
Bibliothèque : L'hydrologie à Solliès-Pont
Bibliothèque : Les routes de l’eau dans le Var
Famille : ARECACEAE
Famille : PLATANACEAE
Le platane a été très utilisé pour border nos routes nationales.
Le seul palmier indigène de la flore française
Famille : ARECACEAE
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Famille : TAXODIACEAE
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Inscrit au titre des monuments historiques : arrêté du 1er octobre 1994.
présentée par :
Raoul DÉCUGIS
Solliès-Pont
Départ du centre-ville 9 h 30
Renseignements :
et lieu de rendre-vous sur inscription :
Tél. : 04 94 28 92 95
Gratuit
Dans le cadre des
Journées du Patrimoine 2018
(15 et 16 septembre)
— et Serge Porre (Société française de campanologie)
Renseignements : Tél. : 07 78 51 29 84
Entrée libre
Dans le cadre des
Journées du Patrimoine 2018
(15 et 16 septembre)
par Raoul DÉCUGIS,
(Les Chemins du patrimoine)
Solliès-Pont,
salle Murat (maison des associations).
à 16 h
La transhumance présente un intérêt
économique et écologique important.
Cette activité particulière à la Provence remonte à la nuit des temps. Rien à voir àvec l'aspect folklorique telle qu'elle est proposée de nos jours : une fête commerciale comme tant d'autres.
C'est ce grand voyage que Raoul Décugis vous propose de parcourir avec lui.
Cette borne, située derrière la salle de fêtes de Solliès-Pont, indique le plus haut niveau de crue connue du Gapeau (19 janvier 1999).
Survivance ancestrale d’un usage
rural et agricole traditionnel.
Auteur : Me DOUBLAT Corinne
Illustrations : ASTRUC B.
Éditeur : Riccobono
Année : (sans)
Pages : 78 p.
HERBE AUX SCHTROUMPFS OU SALSEPAREILLE
Famille : SMILACACEAE
Localisation :
Liane méditerranéenne très répandue dans les haies, bois clairs, pierriers, forêts, maquis, garrigues et brousse littorale.
Comestibilité :
Les jeunes pousses de cette liane sont comestibles crues ou cuites.
Les fleurs automnales, au parfum d’Oranger, servent également à préparer une délicieuse liqueur.
LILAS D’ESPAGNE, VALÉRIANE ROUGE OU CENTRANTHE ROUGE
Famille : CAPRIFOLIACEAE
Localisation :
éboulis, falaises, autour des habitations, bords des routes, décombres…
Utilisation :
La racine a été employée comme antispasmodique et la plante aurait une action sédative comme sa cousine la valériane.
Comestibilité :
Les feuilles et les boutons floraux sont comestibles, mais c’est surtout les rosettes et les jeunes feuilles qui sont consommées en salade.
Famille : BETULACEAE
Photo : Paul Asman and Jill Lenoble et licence