Barrages de Méounes

Barrages de Méounes
 

 

Barrage des Lantiers

Barrage de Méounes

À six cents mètres plus bas, rive droite, existe l’écluse dite « de Cerisy » retenant les eaux du Gapeau et de Beaupré pour l’arrosage de Montrieux-le-Vieux (commune de Méounes).

 
Note : de M. Marius Gueit, maire de Solliès-Pont (1878-1886), percepteur à Marseille (1909), elles ont été recueillies par M. Frédéric Dollieule en août 1909.

 

 

Barrage du Naï

Barrage de Méounes

*« Sur la rive gauche, à deux mètres du poteau de la chartreuse, les eaux sont dérivées au moyen d’un barrage dit « barrage de la Trinité » pour une papeterie (M. Redortier) et pour l’irrigation des terres placées au-dessous du canal. La prise de la Trinité a été établie anciennement pour une papeterie dite « le Martinet » actuellement fermée.
La fabrique de papier près de Pachoquin, sur le bord de la route, est mise en mouvement à l’aide d’une dérivation issue d’un barrage connu sous le nom de barrage de Pachoquin, dont l’établissement remonte au début du XVIIe siècle. »
À deux kilomètres, plus bas, se trouve l’écluse des usines Lantier et du Martinet.

 

*M. Auguste Bosc, géomètre à Draguignan, 1845.