L’écluse Saint-Victor,
le moulin à blé
et les « Bouchons »
L’écluse Saint-Victor
et son moulin à farine
Alimentée par les eaux du barrage supérieur et par les eaux qui se déversent du canal des Carcés et qui actionnent le moulin à farine et la tannerie Giraud ; le canal de cette écluse tombe à cent mètres en aval.
Dans le cadastre de 1813, ce moulin appartient à A. Allègre.
Un moulin qui est situé dans ce faubourg, l’eau y est peu considérable et les charrettes ne peuvent pas y aboutir. Ce moulin à néanmoins deux tournants mais il manque quelquefois de chalands, il est situé sur le Gapeau, il est sujet à un plus grand entretien de canaux et de muraille il contient encore l’habitation du meunier.
Le canal du Sarraire, de La Tourre,
le moulin de Beaulieu
Ce canal maître du syndicat des arrosants du Sarraire et de la Tour mesure deux mille mètres de long et arrose soixante-huit hectares. Le débit est de cent quatre-vingt-dix-huit litres par secondes contre mille six cent soixante litres pour le Gapeau en juin 1948.
— trois quarts restants des eaux des moulins font tourner le moulin de la Nerte et se jettent au Gapeau pour servir à l’écluse des Sauvans.
Les rapports Cundier de 1740 et Floquet de 1741 sur le fonctionnement des moulins ont ouvert une période de deux cent vingt ans de procès incessants.
Les « Bouchons »
Ancien bâtiment industriel servant de séchoir au liège, une fabrique de bouchons établie par Henry, Théophile Malpas dès 1865 et ensuite les établissements Roure et Cie entre 1934 et 1955.