Phoenix canariensis
Nom provençal :
- Paumier
Famille : ARECACEAE
En été de longues inflorescences de fleurs crème réunies en panicules pendantes rajoutent au charme de la plante.
Auteurs : SMBVG
(Syndicat Mixte du Bassin Versant du Gapeau)
Éditeur :
(3e édition mai 2018)
Ville : Pierrefeu-du-Var
Année :
Pages : 4 p.
Tilia
Nom provençal : Tihu
MALVACEAE
Devant son nom au mot latin « Tilia » le Tilleul est un arbre appartenant à la famille des Malvacées, qui se divisent en plusieurs espèces, dont les plus connues en Europe sont le Tilleul à petites feuilles Tilia cordata et le tilleul à grandes feuilles Tilia platiphyllos.
Arbre traditionnel implanté au centre des villages de Gaule ou d’anciens lieux de rassemblement en Allemagne, le Tilleul est aujourd’hui principalement connu pour ses fleurs et ses feuilles. Ces dernières, souvent en forme de cœur, ont d’ailleurs fait du Tilleul un symbole d’amour et de fidélité dans la mythologie grecque.
Pouvant s’élever jusqu’à quarante mètres de hauteur, il possède une croissance rapide faisant apparaître une écorce lisse qui se gerce au fil des années. Comme la plupart des arbres, il a besoin d’un sol relativement profond pour pouvoir se développer. Cet arbre principalement d’ornement préfère les terres riches, fraîches et assez humides pouvant être même calcaire. Il ne supporte pas les terrains trop acides et l’aridité de l’air, il conviendra donc de lui trouver une exposition mi-ombre.
Le Tilleul se plante en racines nues ou en conteneur à l’automne pour favoriser son enracinement avant l’hiver.
Jubæa chilensis
COCOTIER DU CHILI OU PALMIER DU CHILI
Nom provençal :
- Paumier
Famille : ARECACEAE
Vu son origine géographique, c’est aussi le palmier à feuilles pennées (Cocotier, Palmier des Canaries, Palmier dattier…) le plus rustique pouvant supporter des gelées de l’ordre de -15 °C en pointe.
Le fruit est une noix de coco miniature.
Schinus molle
Famille : ANACARDACEAE
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Jubæa chilensis
Nom provençal :
- Paumier
Famille : ARECACEAE
Le fruit est une noix de coco miniature.
Cycas revoluta
PALMIER FOUGÈRE OU CYCAS DU JAPON
Nom provençal :
Famille : CYCADACEAE
Leurs feuilles pennées et arquées qui peuvent être très grandes (deux à trois mètres pour C. debaoensis), ressemblent à celles des palmiers, mais elles sont bordées d’épines et insérées sur le stipe par un long pétiole. Elles forment de magnifiques courronnes, en particulier chez C. revoluta. Au cœur de feuilles apparaissent en été de grandes fleurs le plus souvent jaunes et très décoratives.
Les Cycas étant dioïques, les fleurs mâles et femelles sont portées par des pieds différents. Chez C. revoluta, les cônes mâles, laineux mesurent vingt à quarante centimètres et les inflorescences femelles dix à vingt centimètres. Les fruits ovoïdes font trois à quatre centimètres de long.
Le feuillage, vert brillant, peut geler à partir de -15 °C, mais repart du tronc.
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Sequoia sempervirens
Nom provençal :
- Sequouia
Famille : TAXODIACEAE
Son écorce épaisse et crevassée est rouge orangé et d’une texture souple et fibreuse.
Il est plus fin et plus élancé que le séquoia géant.
Les feuilles persistantes sont disposées sur les rameaux secondaires en deux rangs d’aiguilles aplaties, longues, vertes dessus, blanchâtres dessous. Les feuilles placées sur les rameaux principaux sont des écailles appliquées.
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Quercus ilex L.
Nom provençal :
Éuve
Famille : FAGACEAE
La face blanchâtre des feuilles d’yeuse permet en fait de réfléchir les rayons du soleil et lutter contre la sécheresse. De ce fait, il occupe souvent les sites les plus secs. Ces caractéristiques des forêts méditerranéennes sur le sol calcaire, il permet de maintenir un couvert forestier dans les lieux aux conditions écologiques rudes, et participe ainsi au maintien des sols.
Il a été largement exploité pour le bois de chauffe et le charbon de bois.
Chêne vert, Quercus ilex L. Photo : Stadtkatze et licence.
Phillyrea latifolia L.
Nom provençal :
- Taradèu
Famille : OLEACEAE
Le Filaire à larges feuilles (Phillyrea latifolia) est une plante de la famille des Oléacées. C’est un arbrisseau de six à huit mètres de hauteur.
Le feuillage est persistant, brillant et coriace. Les feuilles sont opposées, larges de forme ovale à pétiole court. Les fleurs sont disposées en grappes courtes et peu fournies. Le fruit est une drupe de la grosseur d’un pois, de couleur noire, à noyau globuleux. La Filaire à feuilles larges fréquente les maquis, les vallées rocailleuses et les collines sèches. On la rencontre entre zéro et sept cents mètres d’altitude.
La floraison de l’espèce intervient entre les mois d’avril et mai. Cette espèce est hermaphrodite. La pollinisation se fait de manière entomogame et la dispersion des graines se fait par endozoochorie. On rencontre cette filaire dans le sud de l’Europe (Espagne Portugal, France, Sardaigne, Sicile Corse), en Afrique du Nord et dans le sud-ouest de l’Asie. En France, cette espèce se rencontre en Provence-Alpes-Côte d’Azur, dans le Languedoc-Roussillon, en Corse, Poitou-Charentes ainsi qu’en Gironde.
Cupressus macrocarpa
Famille : CUPRESSACEAE
Les jeunes sujets se remarquent en effet à leur silhouette élancée tandis que les vieux arbres se caractérisent par leur large cime tabulaire.
Du tronc court et trapu dont l’écorce est brun rouge puis gris cendré partent des rameaux cylindriques qui portent un feuillage persistant vert franc ou doré, très dense, composé de petites feuilles triangulaires en forme d’écailles.
Photo : John Sullivan et Licence
Les fruits du Cupressus macrocarpa appelés strobiles sont de petits cônes à écorce grise qui contiennent de nombreuses petites graines ailées.
Quercus pubescens Willd.
CHÊNE BLANC OU CHÊNE PUBESCENT
Nom provençal : Blacas
FAGACEAE
Il doit son nom « pubescent » (poilu) au revers velouté de ses feuilles qui sont de forme très lobée. Une particularité est qu’il possède un feuillage persistant tout l’hiver (marcescent) comme le charme. C’est arbre mesure une quinzaine de mètres de façon générale et plus rarement une trentaine possédant une tête ronde. Il est très rustique au gel en terrain drainant et peut ainsi vivre plusieurs siècles. Son tronc à l’écorce noire.
Il est souvent recouvert de lichens gris et de formes assez tortueuses. Le bois (très dur et dense) sert pour les charpentes et les meubles. Il résiste à l’eau et sert encore pour les écluses, les pilotis, les traverses de chemin de fer… Il servait aussi de combustible ainsi qu’a fabriquer un excellent charbon de bois.
Celtis australis L.
Nom provençal :
- Falabreguié ;
- Fabriguié (Fréjus) ;
- Fabrigoulié (Les-Adrets).
Famille : CANNABACEAE
Cette espèce a un tronc droit et de nombreux rameaux plutôt pendants. Son écorce cannelée ressemble à celle du hêtre, gris avec quelques pustules et protubérances. Ses feuilles caduques sont simples, alternes, elliptiques, légèrement asymétriques à la base, dentées et rugueuses sur le dessus, ressemblant à celles l’Orme, tout en étant plus allongées et moins larges. Ses petites fleurs s’épanouissent en mai, en général solitaires et disposées à l’aisselle des feuilles, avec une corolle peu visible, mais des stigmates blancs très développés.
En septembre, ses petits fruits noirâtres ressemblent à de petites olives et persistent sur l’arbre après la chute des feuilles.
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Cupressus sempervirens
Nom provençal :
- Auciprès ;
- Ciprès.
Famille : CUPRESSACEAE
Le Cyprès commun est un conifère à l’écorce lisse et teintée de rouge.
De port érigé, les branches et les rameaux sont serrés les uns contre les autres et dressés, donnant à l’arbre l’allure d’une colonne, parfois très fine suivant l’espèce, dont la cime élancée peut dépasser vingt mètres de haut. Les feuilles sont de petites écailles agglutinées formant de petits rameaux souples.
Cupressus sempervirens horizontalis est un cyprès de Provence couramment utilisé dans le Midi pour faire des haies taillées.
Cupressus sempervirens
Pinus halepensis
Nom provençal :
- Pin-blanc (Fréjus, Hyères, etc.)
Famille : PINACEAE
Washingtonia filifera
PALMIER DE CALIFORNIE OU PALMIER À JUPON
Nom provençal :
- Paumié
Famille : ARECACEAE
Cette exposition est le résultat de la collecte d’informations, de relevés sur le terrain et de nombreuses photographies et dessins des fontaines de notre territoire.
La présentation en panneaux bâches verticaux de un mètre cinquante de haut s’est imposée à nous pour une lisibilité agréable et pratique. Elle a été mise en page par G. Demailly et imprimée par « Fidel-Graphic », 83210 La Farlède.
Ces panneaux pourront être prêtés aux différentes communes sous certaines conditions matérielles et d’assurance pour des périodes déterminées ensemble.
L’accueil favorable reçu par les visiteurs aux Journées européennes du Patrimoine à Solliès-Pont nous encourage à persévérer.
Nous voulons remercier ici : André Arcolao, Henri Sausset, Christian Sévery, Philippe Tibout, de la Maison du patrimoine de Belgentier, Jean-Claude Vincent, Mesdames les adjointes à la Culture de Solliès-Toucas, Solliès-Ville, les archives communales de Solliès-Pont et la communauté de communes de la Vallée du Gapeau.
Le président
Belgentier
La Farlède
Solliès-Pont
Solliès-Toucas
Solliès-Ville
Aux XVII et XVIIIes siècles la solution utilisée pour l’adduction en eau dans les villages est le fil de l'eau, qui descend naturellement par gravité dans un canal à ciel ouvert.
L’eau va de fontaine en fontaine, la surverse de la première alimentant la suivante. Les usages différents de l’eau se répartissant tout au long de cette ligne : au point le plus haut, l’alimentation des habitants, puis les animaux, les usages domestiques et l’arrosage des jardins, le point le plus bas. (Belgentier 2, Solliès-Toucas 2, 3, 11, 12, 15, Solliès-Pont 1, 2, Solliès-Ville 1, 4, 5, La Farlède 1, 8).
Quand l’eau est peu abondante, les fontaines sont rares et fort simples ; le souci majeur des municipalités est donc la recherche de sources pérennes, l’amélioration des captages et l’acheminement de l’eau vers les différents quartiers des villages qui petit à petit s’étendent.
L’Empire et son administration sont à l’origine de la création des départements et parallèlement les ingénieurs des Ponts et Chaussées, en hommes de terrain participent à l’aménagement du territoire et aux travaux d’adduction d’eau (Solliès-Toucas 8, 9, Solliès-Ville 3)
Les matériaux changent et la fonte remplace de plus en plus la terre cuite qui, poreuse et fragile, provoque des pertes importantes, l’eau coulant à la fontaine correspondant à la moitié voire au quart du volume capté à la source. Le prix de la fonte baissant au cours du siècle va également favoriser son utilisation.
Le XIXe siècle est l’âge d’or des fontaines et dans tous nos villages, bornes-fontaines, fontaines centrales ou adossées, fontaines-lavoirs et puits dans les plaines vont voir le jour, dessinés par les ingénieurs des Ponts et Chaussées, les architectes voire le maçon du village (Belgentier 7, 9 à 14, La Farlède 5, Solliès-Pont 3, Solliès-Toucas 6, 10, 13).
Dans la seconde moitié du XIXe siècle, la technique du réseau va permettre de multiplier les adductions d’eau. La résistance des matériaux, le calcul des sections des tuyaux vont permettre d’augmenter la taille des conduites et donc le volume d’eau disponible.
La loi sur la salubrité de 1902 va accélérer le développement des réseaux, car il est urgent de lutter contre les épidémies de choléra, de typhoïde, causées par les eaux polluées.
Aujourd’hui chaque commune, chaque habitation dispose de l’eau courante et les rôles les plus importants de la fontaine ont disparu (La Farlède 11 à 13, Solliès-Pont 11 à 16).
Certes, la construction des nouvelles fontaines a beaucoup diminué, mais on constate que nombre de projets décoratifs d’embellissement urbain passent par la création d’une fontaine, partie intégrante de cet espace (Solliès-Toucas 16, Solliès-Pont 9, 10, Solliès-Ville 6, La Farlède 9, 10).
Bibliothèque : Eaux et fontaines du Var
Bibliothèque : L'hydrologie à Solliès-Pont
Bibliothèque : Les routes de l’eau dans le Var
Chamaerops humilis
Nom provençal :
- Paumié
Famille : ARECACEAE
Il est dioïque, son tronc — ou stipe — comprend de multiples drageons. Ses feuilles prennent la disposition d’une rosette terminale, la forme d’éventail ainsi formée peut atteindre un diamètre de quatre-vingt-dix centimètres.
Il possède la caractéristique exceptionnelle de régénération naturelle après le passage d’un incendie. Il peut également résister à la sécheresse ce qui lui vaut une grande importance au niveau écologique en freinant l’érosion.
Grâce à ses nombreuses fibres, l’utilisation du palmier nain peut aboutir à la fabrication de divers matériels et objets tressés.
C’est le palmier le plus vendu et le plus cultivé, aujourd’hui.
De nombreuses vertus thérapeutiques sont associées aux baies de la plante. Ses fruits malgré leur aspect brun rouge attirant ne doivent pas être consommés.
Platanus hispanica
Nom provençal :
Platano (mot féminin en provençal)
Famille : PLATANACEAE
Arborant une couleur vert clair, ses feuilles sont de grande taille avec leurs treize à quinze centimètres de longueur. Les fleurs n'ont pas de pédoncule et sont serrées sur un même réceptacle, une boule crépue. Les sexes sont séparés. La boule de fruits passe l'hiver et libère ses akènes duveteux au printemps.
Le platane a été très utilisé pour border nos routes nationales.
Chamaerops humilis
Le seul palmier indigène de la flore française
Nom provençal :
- Paumié
Famille : ARECACEAE
Il est dioïque, son tronc — ou stipe — comprend de multiples drageons. Ses feuilles prennent la disposition d’une rosette terminale, la forme d’éventail ainsi formée peut atteindre un diamètre de quatre-vingt-dix centimètres.
Il possède la caractéristique exceptionnelle de régénération naturelle après le passage d’un incendie. Il peut également résister à la sécheresse ce qui lui vaut une grande importance au niveau écologique en freinant l’érosion.
Grâce à ses nombreuses fibres, l’utilisation du palmier nain peut aboutir à la fabrication de divers matériels et objets tressés.
C’est le palmier le plus vendu et le plus cultivé, aujourd’hui.
De nombreuses vertus thérapeutiques sont associées aux baies de la plante. Ses fruits malgré leur aspect brun rouge attirant ne doivent pas être consommés.
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Taxodium distichum
Nom provençal :
Famille : TAXODIACEAE
Elles sont disposées en spirale autour du rameau, mais sa torsion donne l’illusion qu’elles sont placées sur un même plan. Ce sont des ramilles entières qui se détachent à automne.
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Mardi 23 octobre 2018

Visite commentée,
du four à cade des Pousselons
Inscrit au titre des monuments historiques : arrêté du 1er octobre 1994.
présentée par :
Raoul DÉCUGIS
Solliès-Pont
Départ du centre-ville 9 h 30
Renseignements :
et lieu de rendre-vous sur inscription :
Tél. : 04 94 28 92 95
Gratuit


15, 16 et 17 septembre 2018
Dans le cadre des
Journées du Patrimoine 2018
(15 et 16 septembre)
Exposition :
L’art campanaire dans
la Vallée du Gapeau
Solliès-Toucas
heures d'ouverture :
dimanche 16 : de 10 h 30 à 12 h et 14 h à 16 h 30,
lundi 17 : de 9 h à 12 h et 14 h à 17 h.
— et Serge Porre (Société française de campanologie)
Renseignements : Tél. : 07 78 51 29 84
Entrée libre
Vendredi 14 septembre 2018
Dans le cadre des
Journées du Patrimoine 2018
(15 et 16 septembre)
Conférence :
La Transhumance
par Raoul DÉCUGIS,
(Les Chemins du patrimoine)
Solliès-Pont,
salle Murat (maison des associations).
à 16 h
La transhumance présente un intérêt
économique et écologique important.
Cette activité particulière à la Provence remonte à la nuit des temps. Rien à voir àvec l'aspect folklorique telle qu'elle est proposée de nos jours : une fête commerciale comme tant d'autres.
C'est ce grand voyage que Raoul Décugis vous propose de parcourir avec lui.
L'entretien des cours d'eau
Cette borne, située derrière la salle de fêtes de Solliès-Pont, indique le plus haut niveau de crue connue du Gapeau (19 janvier 1999).
Survivance ancestrale d’un usage
rural et agricole traditionnel.
Auteur : Me DOUBLAT Corinne
Illustrations : ASTRUC B.
Éditeur : Riccobono
Année : (sans)
Pages : 78 p.
B. P. 13 - 83510 Lorgues
06 81 84 21 30
corinne.doublat@wanadoo.fr
Smilax aspera L.
HERBE AUX SCHTROUMPFS OU SALSEPAREILLE
Nom provençal :
- Esclarzia ou esclarziha (Fréjus) ;
- Esquerzia ou rastelet (Seillans) ;
- Esclarzieio (Montauroux) ;
- Aglaria (Hyères) ;
- Agleira (Les Mayons) ;
- Escuro-lengo (Lorgues).
Famille : SMILACACEAE
Localisation :
Liane méditerranéenne très répandue dans les haies, bois clairs, pierriers, forêts, maquis, garrigues et brousse littorale.
- Dépurative, sudorifique : affections cutanées, rhumatismes, goutte.
- Les asthmatiques peuvent fumer sa racine blanc-gris, séchée et broyée, ils s’en trouveront soulagés.
Comestibilité :
Les jeunes pousses de cette liane sont comestibles crues ou cuites.
Les fleurs automnales, au parfum d’Oranger, servent également à préparer une délicieuse liqueur.
Centranthus ruber (L.) DC
LILAS D’ESPAGNE, VALÉRIANE ROUGE OU CENTRANTHE ROUGE
Nom provençal :
- Pan-de-couguou
Famille : CAPRIFOLIACEAE
Localisation :
éboulis, falaises, autour des habitations, bords des routes, décombres…
Utilisation :
La racine a été employée comme antispasmodique et la plante aurait une action sédative comme sa cousine la valériane.
Comestibilité :
Les feuilles et les boutons floraux sont comestibles, mais c’est surtout les rosettes et les jeunes feuilles qui sont consommées en salade.
Ostrya carpinifolia

Nom provençal :
- Caupre
Famille : BETULACEAE
Vinca major L.
Photo : Paul Asman and Jill Lenoble et licence
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