Chapelle Saint-Jacques à Solliès-Pont
Lors de la fondation en 1668, les habitants du hameau promettent au nom de « l'amour de Notre-Dame, de saint Jacques et de saint Philippe », selon leur moyen des sommes allant de quatre, six, et d’autres vingt-deux livres.
Les habitants réunis en assemblée en 1697 en exécution de l’ordonnance synodale du 21 avril 1697 fondent l’œuvre de la Miséricorde, administrée par deux prieurs :
Les habitants réunis en assemblée en 1697 en exécution de l’ordonnance synodale du 21 avril 1697 fondent l’œuvre de la Miséricorde, administrée par deux prieurs :
- prieur de la Miséricorde ;
- prieur de Notre-Dame ;
- prieur de Notre-Dame ;
et deux « prieuresses » :
- prieuresses de la Charité élues pour deux ans, en partie renouvelé par moitié tous les ans.
Un troisième prieur est élu en 1750 comme prieur de Saint-Siriès, desservant de l’autel éponyme.
De nombreuses inhumations dans le caveau de la chapelle (situé en rentrant à droite) depuis 1675 jusqu’en 1705 (BMS, archives 83130.)
Un four banal est attenant à la chapelle. Il est vendu en 1795 par le recteur de la chapelle pour cent cinquante livres en assignats. Dès 1813 jusqu’en 1911 le four est loué par fermage.